L’AGENCE POSTALE COMMUNALE Vous accueille « 21 rue principale » à proximité des commerces
Tel. 05 53 84 03 00
Vous pouvez y effectuer
Toutes vos opérations bancaires habituelles :
– versements, retraits (limité à 350€),
– retrait espèce CB La Poste à partir de 20€ .
– dépôts de chèques – paiement CB (et sans contact).
Services postaux : Vente de timbres, affranchissements, Emballages Colissimo, enveloppes pré-affranchies, lettres Suivies, Recommandés (en instance ou à envoyer)
Qui suis je ? Praticienne REIKI 2ème degré confirmée, et masseuse formée aux différentes techniques à l’institut ACDP FORMATION de MONTAUBAN, j’exerce dans le respect et l’intégrité de la personne.Les massages proposés sont réalisés avec des huiles 100% végétales et bio, différentes huiles essentielles peuvent y être ajoutées en fonction du type de massage, des contres-indications et de vos préférences.Je propose également des soins énergétiques REIKI et des soins au bols tibétains, le but étant d’amener le receveur à un bon niveau de détente.L’ensemble des soins proposés qu’ils soient de relaxation, de détente, ou de bien-être, ne sont absolument pas associés aux techniques thérapeutiques, médicales, paramédicales, gymnastique reconstructive ou rééducation.En revanche, ils constituent une action préventive d’entretien de la santé, au même titre que l’activité physique, une alimentation équilibrée, le sommeil… Les massages pratiqués écartent toutes pratique à caractère équivoque ou érotique.
Maison de 56 m² pour des vacances à la campagne Jusqu’à 5 personnes :
2 chambres
1 lit double
2 lits simples
1 salle de bain
1 WC
Ce gite est situé dans le petit village de Lafitte sur Lot à 20 km de Villeneuve sur lot avec de nombreux commerces tout proche. De plus de nombreuses activités sont disponibles à proximité. Aménagements de la location:
Cuisine américaine
Salon
Terrasse
Cour
Jardin
Tennis collectif
Espaces verts
Environnement de la location
Vue sur village
Vue sur la campagne
Vue dégagée
Dans un village
Éléments pratiques
Non fumeur
Véhicule conseillé
Équipements disponibles
Vaisselle
Ustensiles
Lave vaisselle
Réfrigérateur
Congélateur
Semi-Congélateur
Four
Plaques de cuisson
Micro-Onde
Lave linge
Fer à repasser
Chauffage central
Cheminée
Aspirateur
Téléviseur
Accès Internet
Salon de jardin
Barbecue
Activités disponibles aux alentours
Équitation
Randonnées
Tennis
VTT
Baignade
Pêche
Cinéma
Discothèque
Parc de loisir
Pistes cyclables
Réservations : le bourg 47320 Lafitte Sur Lot France Tél. dom. : 0553840797 Tél. port. : 0622258353 Fax : 0553840797
Au coeur du Sud-Ouest et la vallée du Lot, tout proche de la Maison du Pruneau, vous tomberez sous le charme de la Prunéloise, bâtisse au style néo-classique, au milieu d’un parc arboré de 3770m² entièrement clôturé. La propriété regroupe un ensemble de caractère avec la maison d’habitation avec auvent (espace clôturé idéal pour les jeunes enfants, un patio . Idéal pour les rassemblement familiaux ou entre amis, le gîte de 300m² vous propose un grand confort dans de beaux volumes et espaces. En rdc, cuisine, salon avec cheminée insert, salle de billard, chambre 1 accessible aux personnes handicapées (2×90 ou 1×180) avec sa salle d’eau et son wc privatifs, wc et buanderie avec salle d’eau et wc. A l’étage, chambre 2 (1×160) et chambre 3 (2×90 ou 1×180) avec sde et wc privatifs pour chacune, chambre 4 (1×160, 1×90), chambre 5 (3×90, 1×140), salle de bains (baignoire, douche, 2 vasques, sauna à infra rouge), wc et salle vidéo/jeux pour les enfants sur pallier. Terrasse sous auvent côté Sud-Est. Piscine avec volet roulant, ouverte de mai à septembre selon météo. Draps et lin de toilette inclus, lits faits. Avec la Maison du Pruneau et son verger de 4000 arbres, Christine vous fera découvrir toute l’histoire de la Prune d’Ente depuis 4 générations. A portée du gîte, une boutique gourmande vous attend : pruneau sous toutes ses formes, foie gras, charcuterie locale, produits du terroir … égayeront votre séjour. Pêche et balades sur Lot tout proche. Balades à pied et en velo (Véloroute à proximité). Nombreuse bastides à découvrir. Marchés de producteurs en été. Taxe de séjour à régler. Chauffage en plus en hiver. Animaux acceptés sur demande. Gîte NON fumeur. Caution : 800 € par chèque ou CB.
Comme chaque année la commune était présente à cette 79ème cérémonie de commémoration. Une tragédie survenue à quelques kilomètres de Lafitte qu’il ne faut pas oublier.
Retour sur la journée tragique du 12 juillet 1944:
12 juillet 1944 – Trahison
Laparade 4 heures du matin. Les épis de blé, lourds de promesses de féconde récolte, attendent la lame meurtrière du moissonneur. Neuf jeunes hommes, sous la conduite d’un chef plus âgé, eux aussi rempli d’espérance et d’avenir, vont peut-être tomber sous les rafales criminelles des miliciens. Ce petit groupe F.T.P., au bois de Bures, vient chercher des armes pour lutter contre l’envahisseur.5 heures. Une voiture arrive. Des hommes en descendent et demandent au chef, Marcel Lacassagne, de faire avancer ses hommes. Un moment de surprise, mais il est trop tard : ce ne sont pas des amis, mais des miliciens. Le groupe a été trahi, vendu. Les armes crépitent ; les hommes fuient. Sur les neuf, 6 sont pris de suite : les deux frères Marcis, Pepin, Rozier, Caujolle et Lacassagne, horriblement blessé. Les trois autres réussissent à se sauver : Bourgeois, Bouy, Dauriac, quoique atteints par les balles. Le tout a duré une heure environ. Il est 6 h 30.
12 juillet 1944 – Fusillade
Les prisonniers sont emmenés auprès d’une cabane où sont enfouies quelques armes. Profitant d’un instant d’inattention de ses gardiens, ROZIER parvient à s’enfuir, bien que légèrement atteint. Pris de fureur, les miliciens, aidés par les S.S.allemands de la division « Das Reich » incendient la cabane et conduisent Lacassagne au bord de la route de Tourailles : là, les « mauvais français » comme dira plus tard l’officier S.S., achèvent lâchement le chef de groupe.
8 H 45. Un autre drame – Madame Dubourdieu, dont le mari est prisonnier à Féron (Tonneins) va chercher du pain pour ses enfants : elle est reconnue par les bourreaux et frappée presque à mort, après avoir servi de « cible » pendant 400 mètres. Le pain et la maman ne reviendront jamais à la maison !10 H. la fusillade est terminée.
12 juillet 1944 – Bravoure et exécutions
Les soldats patrouillent dans la campagne et le village. Les prisonniers sont conduits à Aiguillon où bivouaquent les S.S. Ils passent en cour martiale et sont condamnés à mort ! 5 h. de cauchemar, de panique, de terreur, un habitant de Laparade, ancien combattant de 14-18, exhorte au calme, à la prudence, et invite la population à ne pas sortir. C’est alors que des secours s’organisent pour secourir les blessés. Avec courage et générosité, cinq hommes fouillent les champs de blé, les bois, les taillis et trouvent Dauriac affreusement blessé aux jambes et au ventre : un semblant de civière, et il est transporté, à dos d’homme, après quelques soins, chez un propriétaire qui, avec un cheval, le transporte à l’hôpital de Clairac. Ce triste cortège arrive à Laparade vers 16 H, et c’est le drame. Les S.S. sont revenus, avec les survivants du matin : devant la porte de l’Eglise, tous les hommes du village sont rassemblés. Instant d’intense émotion : « Reconnaissez-vous, parmi ces hommes, des partisans du maquis ? » Ces jeunes qui vont mourir, suivent des yeux, un à un, les habitants qui semblent les implorer – Silence impressionnant « Non ». Un autre mot, et Laparade pleurait 40 victimes de plus. Un S.S. donna à boire à Dauriac qui continua son calvaire jusqu’à Clairac où il mourut le lendemain. Un ordre bref : tous les hommes chez eux. Dix minutes plus tard, le drame est consommé : les frères Marcis et Pepin tombent sous les balles, au bord des fossés. Caujolle, par un véritable miracle, échappe à la mort et réussit à s’enfuir.
17 H. Le calme – Les S.S. sont partis, avec leurs voitures, camions, auto-mitrailleuses, et aussi la conscience tranquille : ils ont achevé l’œuvre commencée par des tueurs à gage ! La nuit sera calme : les yeux ne se fermeront pas.